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Aménagement de bureau, cloisons amovibles, depuis 1947
Parlons de votre projet

Pourquoi installer des cloisons de bureau amovibles ?

Les cloisons mobiles peuvent se démonter et se remonter, s’installer en milieu occupé, sans travaux de peinture, sans modification des sols et du faux plafond. Ce sont les cloisons privilégiées pour l’aménagement de bureaux.
Aujourd’hui, la majorité des propriétaires/bailleurs demande la remise en état des locaux à l’identique, les cloisons de bureau amovibles sont la solution d’aménagement idéale.

Avantages des cloisons amovibles

  • Rapidité de montage et de démontage de cloisons de bureau
  • Possibilité de réemploi de cloisons mobiles
  • Produit fini (pas d’autres travaux à prévoir)
  • Modifications possibles sans détérioration (sols, faux-plafonds, murs, …)
  • Structure légère
  • Multiples possibilités de modularité (mixage cloisons pleines / vitrées, …)

Types de personnalisation possibles des cloisons de bureau

Les cloisons de bureau amovibles sont constituées d’ossature apparente, dont le coloris est personnalisable.

COLORIS STANDARD :

  • blanc
  • noir
  • aluminium teinte naturelle

COLORIS SUR DÉLAI :

  • toutes les teintes RAL moyennant un surcoût d’environ 10% du budget global
  • cloison amovible en bois ou imitation bois, effet rouille, …

Concernant les panneaux des cloisons mobiles, ils peuvent être :

  • pleins avec revêtement PVC lessivable
  • pleins avec revêtement à peindre selon votre choix
  • pleins avec revêtement uni ou bois
  • vitrés simple
  • vitrés double
  • vitrés avec store intégré
  • vitrés toute hauteur
  • vitrés demi-hauteur
  • vitrés laqué, sérigraphié, avec rétro-éclairage

L'ergonomie au travail : un enjeu de taille

Voici un article composé de citations du guide de l’INRS (téléchargeable ici ou sur le site de l’INRS) : Conception et aménagement des postes de travail et du guide de lINSERM (téléchargeable ici) : Guide pratique du travail sur écran

Afin de pouvoir reconnaître une mauvaise posture, vous devez être en mesure de répondre à la question : « qu’est-ce qu’une bonne posture? » À l’ordinateur, bien souvent l’on adopte au départ une bonne posture, mais on a tôt fait de courber le dos ou de s’étirer dans un sens ou l’autre. À votre poste de travail d’ordinateur, voici comment se présente une
posture neutre :
L’image représente la posture idéale en position assise, mais il convient de remarquer qu’aucune posture n’est idéale indéfiniment.
Il importe de modifier sa posture et sa position souvent en ajustant les réglages du fauteuil et en alternant les tâches (taper, écrire à la main, marcher et se tenir debout), et ce, le plus souvent possible. Ceci garantira une bonne circulation sanguine et réduira le risque de blessure.

Chez EOL la gamme Easy Up permet de varier la position de travail télécharger la documentation

Easy - Ergonomie au travailergo2 - Ergonomie au travail

Aménagement éco-responsable

Voici un article composé de citations du guide de l’ADEME « Etre écocitoyen au bureau ». télécharger le guide

La vie de bureau, c’est le quotidien pour beaucoup d’entre nous: nous sommes environ 13 millions d’employés de bureau et administratifs en France, soit 46% de la population active. Le bureau, c’est aussi plus de 208 millions de m2 de bâtiments, qui consomment 263 kWh /m2 .an, dont 51,8% pour le chauffage et 48,3% pour les autres usages. Avec un trajet moyen domicile-travail de 15 km, nous parcourons chaque année 6 600 km pour aller travailler, soit la distance Paris-New Dehli, ce qui provoque l’émission d’environ 1,4 tonnes de CO2 par personne.

Ce secteur d’activité crée enfin une quantité de déchets imposante : pour prendre l’exemple des déchets papiers, les Français, au bureau, en produisent chaque année 900000 tonnes. Réfléchir et agir pour réduire les pressions sur l’environnement des activités de bureau est essentiel et potentiellement payant. La politique des entreprises, des administrations, des collectivités, doit générer ou accompagner les dynamiques et fixer les cadres de comportements plus écologiques. Mais, en tant que cadres ou employés, nous avons le pouvoir d’être initiateurs, prescripteurs et bien sûr acteurs dans ce domaine, en prise directe avec notre vie de tous les jours au travail.

La motivation du personnel, un moteur essentiel

Comment adhérer aux actions de réduction des impacts environnementaux des activités de bureau et rester motivé dans la durée ? En commençant par des actions simples, en constatant que les gestes positifs payent et ont une réelle influence. Ainsi, les employés peuvent se renseigner sur les chiffres des principales consommations (ramettes de papier, électricité, eau…). En le rapportant au nombre de salariés, chacun mesurera concrètement ses consommations. Ce type d’action peut venir d’une personne, d’une équipe, d’un service… Ces petites initiatives montrent que les habitudes et les comportements peuvent changer et que même des gestes modestes peuvent être efficaces. C’est un bon début pour se lancer dans des actions plus ambitieuses. Au bureau, AGIR COMME À LA MAISON Des comportements plus responsables Au bureau comme à la maison, nous avons besoin de nous chauffer, de nous éclairer, de nous équiper (en fournitures, en mobilier…).

Nous avons donc besoin d’énergie et de matières premières. Nous savons tous aujourd’hui que leur consommation n’est pas sans conséquences pour notre environnement. Chaque étape de la production, de l’utilisation et de l’élimination d’un produit génère des impacts sur l’environnement.

Nos choix et nos comportements d’utilisateurs et de consommateurs comptent beaucoup pour les réduire ! Choisir un produit plus respectueux de l’environnement, c’est être attentif à son mode de fabrication (par exemple en privilégiant les produits porteurs de logos environnementaux), bien respecter les consignes d’utilisation et suivre les instructions sur sa fin de vie : autant d’enjeux pour réduire ses impacts… et préserver la planète ! Fabrication LE CYCLE DE VIE D’UN PRODUIT Transport Distribution Utilisation Valorisation Matières premières Fin de vie Être écocitoyen au bureau.

Pourquoi ne pas partager et discuter les initiatives réussies, les causes d’échec… lors de petits ateliers débats d’une heure ou de la pause déjeuner par exemple ? Qu’elles proviennent du personnel ou de l’entreprise elle-même, ces initiatives seront suivies d’effet grâce à l’adhé- sion et au maintien de la motivation du plus grand nombre.

Traquer LES GASPILLAGES

Ordinateur, imprimante, photocopieur… ou machine à café, autant d’appareils électriques indispensables dans un bureau. Toujours allumés ou presque, ils sont aussi souvent inactifs et c’est pendant ces phases d’inactivité que se produisent les 2/3 de leur consommation : c’est ainsi qu’un ordinateur de bureau est utilisé en moyenne 3 heures par jour de travail. De plus, les veilles dont sont équipés ces équipements fonctionnent tant qu’ils sont branchés, même s’ils sont «éteints ».

Le papier, consommer moins et mieux

La fabrication de papier est une activité très gourmande en énergie et en eau. Elle utilise des produits chimiques nocifs, notamment pour blanchir le papier. Le développement des TIC n’a pas diminué la quantité de papier au bureau, comme on aurait pu s’y attendre. Le papier reste le premier consommable utilisé au bureau avec 65 kg de papier consommé par personne et par an, c’est à dire l’équivalent de 25 ramettes environ. Il représente les 3/4 du tonnage des déchets qui y sont produits. Le taux de recyclage de ces papiers de bureau est seulement de 35% en France.

Space Planning, Amso le space planner de vos bureaux et open space

Amso vous accompagne dans la conception et dans les choix de l’aménagement de vos bureaux et open space.

LES ÉTAPES :

  1. Audit et analyse de l’existant
    • Métrage ou récupération des plans si existant
    • Réunion de cadrage avec l’équipe de direction pour analyser les contraintes
    • Possibilité d’interview des équipes / services pour comprendre les problématiques liées à leurs métiers
    • Définition des besoins en mobiliers et rangement selon les usages liés à l’environnement de travail
    • Prise en compte des aspects acoustiques, éclairage, espace privé pour téléphoner…
  2. Elaboration des plans
    • Disposition des services pour faciliter leurs interactions
    • Spécifications ergonomiques sur les mobiliers pour définir les connections électriques et raccordements informatiques.
    • Suggestions de décoration avec des éléments de finitions qui agrémenteront les ambiances intérieures
    • Etude de la colorimétrie sur les murs et les sols en fonction de la charte graphique de l’entreprise ou d’une direction artistique externalisée
    • Proposition de signalétique et de films adhésifs pour filtrer les intensités lumineuses
    • Aller-retour pour valider la cohérence besoins / solutions
  3. Livrable : plan projeté 2D / 3D abouti
    • AMSO livrera un plan qui permettra qui permettra une projection clair dans votre nouvelle environnement
    • AMSO proposera des solutions chiffrées pour réaliser le projet

De nombreuses options complémentaires sont possibles, notamment sur les choix des matériaux, accompagnement de décoration, choix, conseil sur l’ergonomie des mobiliers….

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Pour optimiser votre travail, vos bureaux doivent être à l’image de votre organisation.

Les exemples de nos réalisations sont très variées. Nous accompagnons des sociétés dans les domaines du conseil, de l’ingénierie, des technologies, du médical, de la pharmacie, ainsi que des start-up ayant des besoins rapides de locaux au vu de leur croissance.

Pour la grande majorité des projets présentés, AMSO réalise l’étude, les plans, le space planning, mais aussi les travaux.

Nos compétences de conseil et de gestion des travaux apportent une valeur ajoutée dans la mise en oeuvre de ces derniers. En effet nous pouvons anticipés les effets de bords et la maîtrisons la faisabilité sur toute la chaine.

La connaissance concrète des aspects de mise en oeuvre permet d’effectuer des plans très opérationnels, qui par la suite permettront des gains de temps et des gains sur le budget.

Les risques au travail, la santé au bureau

Depuis 20 ans, le nombre de salariés exposés au travail sur écran et à la station assise a considérablement augmenté. Les médecins de santé au travail enregistrent en milieu tertiaire 3 plaintes principales : la fatigue visuelle, les troubles musculo-squelettiques et le stress.

Physiologie et troubles visuels, facteurs de risque

Les 3 fonctions visuelles les plus sollicitées sont l’accommodation, l’adaptation et la convergence, régulées par les muscles oculaires.
Les facteurs de risques sont liés à l’âge, l’état général, et certains traitements médicamenteux. A ces facteurs s’ajoutent les facteurs environnementaux : l’éclairage naturel et artificiel, l’hygrométrie, l’installation du poste de travail et le surmenage.

LES MOYENS DE PREVENTION :

  • Limiter le temps passé devant l’écran à 50min consécutives et à 6h par jour en accordant des temps de pause et des tâches hors écran
  • L’éclairage doit être adapté au travail sur écran, sans éblouissement ni reflet, le terminal perpendiculaire aux fenêtres, à distance de bras tendu et incliné

Station assise et confort postural

L’humain n’est pas naturellement adapté à la position assise prolongée. Pouvant provoquer une mauvaise circulation sanguine, des douleurs musculaires et des déformations du squelette, il est important de prévoir un équipement permettant de lutter contre les risques de TMS (troubles musulo-squelettiques) et de sensibiliser les employés aux postures saines.

  • Une posture en « gravité postérieure » :
    avec appui sur le dossier, bascule postérieure du siège, jambes allongées, avant-bras éventuellement posés sur les accoudoirs.
    Elle est adaptée à la consultation sur écran sans saisie, aux conversations téléphoniques ou à la lecture traditionnelle.
  • Une posture en « gravité antérieure » :
    pieds à plat au sol ou croisés sous la chaise, l’assise étant légèrement en bascule antérieure, les avant-bras posés sur le plan travail, le dos érigé sans appuis.
    Elle est adaptée aux tâches de saisie informatique, rédaction écrite, action sur les périphériques d’entrée.

L’alternance entre ces deux postures, en fonction de la tâche et du ressenti individuel est idéale

LES SIÈGES DE BUREAU :

  • Les roulettes seront adaptées au sol : freinées pour un sol dur, libres pour un sol souple.
  • Un piston à air comprimé permet le réglage de l’assise en hauteur et l’amortissement des pressions sagittales.
  • L’assise est anatomique (bord antérieur galbé, centre concave). Elle est réglable en profondeur (selon la longueur des fémurs) et en inclinaison (de + 5° à -30°).
  • Le dossier est anatomique (doté d’une cambrure lombaire, si possible réglable
  • en dureté), montant jusqu’au niveau des omoplates. Il est réglable en hauteur et en
  • inclinaison (de façon synchrone avec l’assise pour un ratio 1/2).
  • Le réglage assise/dossier synchro doit être ajustable en puissance. S’il est
  • bien réglé, il permet au salarié d’être accompagné dans ces mouvements sans
  • effort des fléchisseurs, ni instabilité du tronc.
  • Les accoudoirs ne sont utiles que pour des salariés ayant une activité à dominante conversationnelle ou pour des lombalgiques chroniques qui en ont besoin pour s’asseoir et se lever.
  • La têtière est un élément de prestige qui ne sert qu’en bascule postérieure.
  • Le repose-pied est indispensable pour les personnes de taille inférieure à 1,65 m. Il doit être mobile ou incliné à 30° suffisamment large et antidérapant.

RECOMMANDATIONS :

  • Régler la hauteur de l’assise de telle sorte que les avant-bras reposent souplement sur la table et, si ce réglage ne permet pas de poser les pieds au sol, ajouter un repose-pied.
  • Disposer le clavier à 15 centimètres du bord du plan de travail.
  • Disposer la souris du côté de la main dominante, le plus près possible du clavier, afin d’éviter la mise en rotation externe de l’épaule.
  • Agencer le plan de travail selon des axes « fonctionnels » (un axe clavier/écran, un axe accueil/écriture…).
  • Les souris verticales limitent la pronation, mais augmentent la sollicitation des fléchisseurs. Elles seront réservées au traitement des épicondylites.
  • Les garnitures en matériaux élastiques placées sous les poignets seront réservées au traitement des syndromes des canaux carpiens.
  • Le téléphone sera installé du côté opposé à la main dominante et, s’il est utilisé plus de 30% du temps de travail, il sera remplacé par un micro-casque confortable.

Troubles psychosociaux

Le stress, les burnouts, le surmenage, l’isolement social sont des troubles de plus en plus présents dans les métiers du secteur tertiaire.

L’aménagement des locaux d’une société peut permettre de moins y exposer les employés en mettant en place un espace fédérateur, favorisant l’interaction entre collègues, et en rendant le lieu de travail agréable, relaxant, inspirant, motivant.

Longtemps négligé, l’espace de vie d’une entreprise a une incidence directe sur les comportements au sein d’une société, et peut dans une certaine mesure développer les capacités professionnel d’un actif, lui inspirer une appartenance, et un plaisir professionnel et humain.

Le bien-être au travail

Pouvoir s’épanouir dans son métier est devenu une préoccupation décisive pour nombre d’actifs. Selon l’OMS, le bien-être au travail consiste en « un état d’esprit dynamique, caractérisé par une harmonie satisfaisante entre les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur, d’une part, et les contraintes et les possibilités du milieu de travail, d’autre part ».

Le bien-être : un vrai défi

Se sentir bien dans sa profession relève donc de plusieurs facteurs : la sécurité, l’intérêt du travail, la rémunération, la lutte contre le stress, l’ergonomie, l’environnement de travail, les relations entre collègues et avec sa hiérarchie…

À l’air de la bureautique, de nouveaux maux ont fait leur apparition comme que le burnout, le stress, les risques psychosociaux (RPS). Le sujet est de plus en plus évoqué dans le monde professionnel : top 10 des entreprises où il fait bon vivre, locaux réaménagés par des architectes d’intérieur, profits pour l’entreprise du bonheur de ses employés, etc.

Les études sur le bonheur au travail fleurissent, et prennent généralement à contrepied les méthodes de toyotisme nées pour parfaire l’efficience des chaînes de production, et qui consistaient en l’optimisation de l’espace et des mouvements des employés.

Par héritage, ces us ont été appliqués en partie aux sites de bureau, bien que l’activité relevait du secteur tertiaire (centres d’appel, commerce, administration…) et le modèle des grands open-space s’est imposé comme idéal pour optimiser l’échange au sein de l’entreprise. Ces aménagements génériques sont de plus en plus remis en cause au profit de solutions spécifiques au besoin de l’entreprise en question.

Les clés du bonheur au travail

Sur le sujet, les sondages relayent les trois principaux facteurs influençant la satisfaction au travail :

  • l’intérêt du travail
  • la qualité de vie au travail
  • le niveau de rémunération

Pour la grande majorité des travailleurs, l’aménagement de l’espace de travail est un élément clé de la qualité de vie au bureau. Outre l’espace disponible, la qualité de l’aménagement et la notion de calme, le critère le plus déterminant est l’aspect humain : l’ambiance et les relations entre collègues, pouvoir être soi même, être respecté par son entreprise et reconnu pour son travail.

Les impacts du bien-être au travail : un cercle vertueux

Un employé passe 35 à 40h/semaine sur son lieu de travail, soit environ ¼ de son temps total (week-end compris). En favorisant la bonne entente entre employés, et en aménageant les locaux de manière à la fois agréable et adaptée à ses tâches, l’entreprise impacte sur :

  • la productivité
  • l’innovation
  • la fidélité
  • la réduction de risques psychosociaux

Pourquoi choisir des plaques ou dalles de faux-plafond ?

  • Le faux plafond en plaques ou en dalles permet de faire passer dans le plénum (espace entre le plafond et le faux-plafond) les câbles de courant fort et de courant faible, les installations nécessaires à la climatisation et/ou à la VMC …
  • Il vous donne également la possibilité d’intégrer les différents éclairages aux endroits que vous aurez choisis : éclairage basse luminance dans les bureaux, led ou spot downlight dans les circulations …
  • Il réduit le volume d’une pièce permettant de faire des économies en termes de chauffage, de climatisation et d’éclairage.
  • Il facilite également l’isolation acoustique de la pièce en fonction des dalles ou plaques de faux plafond choisies.

AVANTAGES DES DALLES ET PLAQUES DE FAUX PLAFOND

  • Absorption et isolation acoustique
  • Résistance à l’humidité
  • Réflexion de la lumière
  • Facilité d’entretien

TYPES DE PERSONNALISATION POSSIBLES

  • Degré acoustique et coloris des dalles pour faux plafond
  • Forme de l’ossature
  • Coloris de l’ossature (teintes RAL)

Réduire le bruit dans un open space

Pour des raisons économiques, de productivité des collaborateurs et d’efficacité les open space se sont multipliés ces dernières années dans l’aménagement des plateaux de bureaux. Les bureaux ouverts représentent désormais 60% des espaces de travail français selon l’INRS.

Source de l’étude : http://www.inrs.fr/inrs/recherche/etudes-publications-communications/doc/publication.html?refINRS=C.1/1.063/P2015-106

Mais très vite des sentiments d’inconfort voire de souffrance chroniques ont été rapportés par les utilisateurs de ces nouveaux espace de travail.

Le bien-être au travail étant un facteur déterminant dans le recrutement et la fidélisation de ses collaborateurs, les entreprises ont donc été contraintes de repenser ces aménagements ouverts et décloisonnés mais générateurs de nuisances sonores au bureau.

Les conséquences pour les entreprises ne sont en effet pas négligeables : absentéisme, baisse de productivité, conflits… autant de signes de mauvaise qualité au travail qui impactent directement l’activité et la performance des entreprises.

Selon une enquête du Conseil National du Bruit, les nuisances sonores auraient un coût social annuel en France de 57,2 milliards d’euros. Et plus spécifiquement dans les bureaux, le coût social annuel de la gêne et de la perte de productivité liée au bruit serait de 18 milliards d’euros.

Source de l’étude : https://assises.bruit.fr/images/pdf/diaporamas/Atelier-11-LEMUET.pdf

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Lorsque l’on envisage l’aménagement de ses nouveaux bureaux, il est donc vital d’étudier en amont et de réfléchir à toutes les pistes envisageables pour gérer toutes formes de nuisances sonores en open space.

Pour réduire le bruit dans un open space, le choix des matériaux lors de la réalisation des travaux est primordial. Il faut mettre en œuvre :

  • Un plafond acoustique
  • Un sol absorbant les sons liés aux déplacements
  • Limiter si possible les surfaces vitrées
  • Des sièges capitonnés qui seront des pièges à sons
  • Suspendre des plaques acoustiques sur les 2/3 du plafond
  • Des parois cloisons, portes ne réverbérant pas les sons
  • Poser des panneaux décoratifs absorbants sur les murs

En tant que professionnel de l’aménagement, l’équipe AMSO composée d’architectes, de responsables produits, de pilotes chantier… est là pour vous conseiller et vous aider à trouver les solutions les mieux adaptées à vos besoins afin de réduire au maximum le bruit dans tous vos espaces de travail et principalement dans vos open space en alliant design, ergonomie et budget.

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